A la rencontre de Sophie, la première égérie belge Garance pour la collection bain hiver 2019 !

Sophie est l'une de nos nouvelles égéries. Depuis plus d'un an maintenant, Garance met un point d'honneur à choisir ses "mannequins" qui doivent être des femmes concernées par la maladie. Cela donne une dimension encore plus réelle aux photos et permet aux femmes de mieux se projeter dans les modèles de lingerie ou de maillots de bain !

Pas de photoshop, pas de retouches, Garance dévoile des femmes naturelles et prône un discours sans artifices. 
«Je veux montrer que ce n’est pas parce qu’on a eu un cancer qu’on est moins féminine. Garance sublime leur féminité, pour cela inutile de montrer leurs cicatrices. Au fonds d’elles, celles qui posent savent ce qu’elles ont traversé. Celles qui les regardent le devinent aussi. C’est ça qui est important pour nous »
Cécile Pasquinelli, fondatrice de Garance

Retrouvez tous les engagements de Garance ici

Sophie, peux-tu te présenter ? 

En 2016, année de mes 50 ans, mammo bingo. Mammectomie s’en suit. 

Infirmière de profession, je passe à « tu dois t’occuper de toi ».

S’en suit la rencontre d’autres femmes,  je rejoins une ASBL (Association Sans But Lucratif) : "RE-source" qui débute à Bruxelles.

Le parcours commence par la découverte de la danse expressive, Yoga, Méditation, ateliers à thème.
J’ai entendu parlé de « Garance » la première fois par ma sœur qui avait une copine  à Paris.  En Belgique, tout se sait  par  téléphone. Et lors d’un déplacement à Paris, j’ai décidé de rencontrer Cécile à la boutique. J’ai de suite apprécié la qualité de la lingerie, le détail, l’élégance des coupes, le choix des dentelles…

Peux-tu nous dire ce qu'est Garance pour toi ? 

Garance m’a permis d’accepter mon corps d’amazone, de me libérer des opinions et regards  des autres, de me sentir encore plus femme.

Quel est ton modèle préféré ? 

J’adore porter l’ensemble Lise,  et le maillot pile ou face.

Pourquoi acceptes-tu de poser en Garance et de témoigner ? 

Garance mérite d’être connue et de croitre en Belgique et ailleurs. Je veux montrer aux femmes qui passent par cette épreuve  aujourd’hui, qu’il y a de l’espoir. 

Je veux dire à tous qu’une femme ne se résume pas à un ou deux seins. Qu’être touchée par le cancer n’est pas une honte, qu’on peut vivre autrement.

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